Mario
Merz, La
Ville irréelle, metal,
tube électrique au néon, cire, 1968.
Les
mots città irreale sont inscrit en néon, emprisonnés
dans une structure métallique triangulaire recouverte de
cire.
La
représentation de la ville s'éloigne donc d'une
quelconque figuration plus ou moins réaliste.
Mario
Merz cherche plutôt à traduire l'ambiance urbaine,
par l'association des matériaux et des lumières.
Questions
Q'est-ce
qui rappelle dans cette Ville irréelle nos paysages urbains ?
Pourquoi ?
Quelle place est-il accordé habituellement dans notre société
aux matériaux utilisés par Mario Merz ?
Comment l'artiste parvient-il à en tirer un potentiel esthétique
? Autrement dit, pourquoi le fer, la cire et le tube lumineux deviennent-ils
oeuvre ?