Le
frère de l'artiste pose devant nous sans nous regarder
; notre attention se détourne dès lors du portrait
pour vérifier ce qui intéresse tant le jeune homme.
Par la fenêtre ouverte, on aperçoit la ville où
les belles galantes et les voitures illuminent de leur éclat
la ville.
Gustave Caillebotte joue habillement d'une composition en plusieurs
cadres qui s'imbriquent les uns les autres (cadrage, fenêtre,
bâtiments délimitant une zone de vie...) et des
différents contrastes de lumière.
Il parvient de la sorte à élargir son propos et
montre une fois encore Paris, qu'il aime peindre sous tous les
angles.